I.
Ceux qui s'appliquent à la méditation de nos profonds oracles adressent encore cette question : s'il est vrai que l'inférieur ne partage pas entièrement les qualités du supérieur, pourquoi dans les saintes Ecritures nos pontifes sont-ils appelés anges du seigneur tout-puissant 1 ?
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Malach., 2, 7.- Apoc., 2. ↩