II. Mystère du sacrement de l'onction.
Comme pour la communion, les ordres les moins parfaits sont exclus aussitôt après que les membres de la hiérarchie ont répandu de saints parfums tout au tour du temple, qu'on a chanté pieusement les Psaumes et qu'on a fait mémoire des très saintes Ecritures. Le grand prêtre alors prend l'huile sainte, il la dépose sur l'autel des divins sacrifices sous le couvert de douze ailes saintes. Cependant l'assemblée tout entière fait retentir le chant de cet hymne très saint que Dieu même inspira aux prophètes. Ayant consacré l'huile par une très sainte invocation, il l'utilise pour les plus saintes consécrations liturgiques, à l'occasion de presque toutes les cérémonies hiérarchiques.