Traduction
Masquer
Gegen die Valentinianer. (BKV)
30. Cap. Einiges aus der Sittenlehre der Valentinianer.
Daher halten sie die guten Werke nicht nötig für sich, beobachten die sittlichen Obliegenheiten nicht und werden auch mit der Pflicht des Martyriums durch irgend eine beliebige Interpretation fertig. Dasselbe sei, sagen sie, ein Gesetz, das dem psychischen Samen vorgeschrieben sei, damit wir unser Heil, welches wir nicht [wie sie] durch ein Privilegium unseres Standes besitzen, durch Hilfe von Handlungen erwerben. Denn uns ist der Stempel des letztgenannten Samens aufgedrückt und wir sind unvollkommenen Wesens, weil wir zur Liebe des Theletus und darum zur Missgeburt gerechnet werden, wie ihre Mutter. Uns gilt das Wehe, wenn wir in irgend einem Stücke das Joch der Sittenzucht übertreten, wenn wir in den Werken der Heiligkeit und Gerechtigkeit träge sind, wenn wir unser Bekenntnis anderswo als vor den Mächten dieser Welt und den S. 124 Richterstühlen der Oberpräsidenten abzulegen auch nur wünschen sollten. Sie aber behaupten ihren Adel trotz ihres ganz ordinären Lebens und sündhaften Treibens, indem Achamoth, die selbst auch aus ihren Sünden Nutzen zog, den Ihrigen günstig ist. Es wird nämlich, um die oberen Ehen zu ehren, bei ihnen der Grundsatz aufgestellt, man müsse immer an das Geheimnis denken und es verherrlichen, indem man dem Gefährten, d. h. dem Weibe, anhange. Der, welcher in der Welt lebe, aber kein Weib liebe und sich mit keinem Weibe verbinde, sei entartet und kein echter Anhänger der Wahrheit.
Traduction
Masquer
Contre les Valentiniens
XXX.
Voilà pourquoi ils regardent les œuvres comme leur étant inutiles, et se dispensent de l'accomplissement de tout devoir, se dérobant même à la nécessité du martyre, sur je ne sais quelle frivole interprétation. Ils veulent, en effet, que cette règle ne soit imposée qu'à la semence animale, afin que nous conquérions par le mérite de l'acte le salut que nous ne possédons pas par le privilège de notre nature. C'est nous qui formons la catégorie de cette semence, essence imparfaite que nous sommes, parce que nous provenons des amours de Philète, et de l'avortement par conséquent, à peu près comme leur mère. Mais aussi, malheur à nous, si nous secouons sur quelque point le joug de la discipline, si nous nous engourdissons dans l'exercice de la sainteté et de la justice, si nous désirons de rendre témoignage ailleurs, je ne sais où, et non en face des puissances de ce monde et devant les tribunaux des proconsuls. Quant à eux, qu'ils s'arrogent la noblesse de l'extraction par la licence de leur vie et l'amour du dérèglement; Achamoth doit protéger les siens, puisque ses dérèglements lui ont si bien profité. On dit en effet que chez eux, pour honorer les mariages célestes, il faut méditer et célébrer toujours le sacrement, en s'attachant à la compagne, c'est-à-dire à la femme. Mais d'ailleurs, quiconque vit dans ce monde sans aimer la femme et s'unir à elle, ils le tiennent pour un homme dégénéré et bâtard de la vérité. Que feront donc les eunuques que nous voyons parmi eux?