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Die Regel des hl. Benedikt (BKV)
XXXIV. KAPITEL. Ob alle in gleicher Weise das Notwendige bekommen sollen.
Man soll es halten, wie geschrieben steht: „Einem jeden wurde zugeteilt nach Bedarf“1 . Damit wollen wir aber nicht sagen, es dürfe ein Ansehen der Person gelten — das sei ferne —, vielmehr achte man auf die schwachen Kräfte der einzelnen. Wer weniger braucht, danke Gott und betrübe sich nicht, wem aber mehr von-nöten ist, der verdemütige sich2 wegen seiner Schwäche und überhebe sich nicht wegen der liebevollen Rücksicht. So bleiben dann alle Glieder im Frieden. Vor allem darf nie das Laster des Murrens bei irgendeinem Anlaß in irgendeinem Wort oder Zeichen zum Vorschein kommen. Wird einer auf diesem Fehler ertappt, so verhänge man eine schärfere Strafe über ihn.
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La règle de Saint Benoît
CHAPITRE XXXIV. SI TOUS DOIVENT RECEVOIR ÉGALEMENT LE NÉCESSAIRE
"On distribuait les parts de chacun selon les besoins de chacun." L'Ecriture indique par là ce qu'il convient de faire. Cela ne signifie nullement qu'il y ait acception de personne, Dieu nous en préserve ! Mais qu'on ait égard aux infirmités : celui à qui peu suffit, qu'il rende grâces à Dieu et ne soit pas chagrin ; et celui à qui il faut davantage, s'humiliera de sa faiblesse, loin de se prévaloir des ménagements qu'on a pour lui. De la sorte, tous les membres vivront en bonne intelligence. Surtout, qu'on ne voie jamais éclater le vice du murmure, sous quelque prétexte que ce soit, ni dans la moindre parole, ni par une manifestation quelconque. Tout frère surpris dans cette faute sera soumis à un châtiment très sévère.