• Accueil
  • Œuvres
  • Introduction Instructions Collaboration Sponsors / Collaborateurs Copyrights Contact Mentions légales
Bibliothek der Kirchenväter
Recherche
DE EN FR
Œuvres Tertullien (160-220) De Idololatria

Traduction Masquer
Über den Götzendienst (BKV)

13. Götzendienerisch ist auch das Halten der heidnischen Festtage und die Beobachtung bestimmter Tage zu gewissen Geschäften.

Doch was soll ich noch über die Opferdienste und priesterlichen Akte sprechen? Inbetreff der Schauspiele und der verwandten Vergnügungen habe ich S. 157bereits ein eigenes Buch geschrieben. Hierorts ist dagegen über die Festtage und sonstigen außergewöhnlichen Feierlichkeiten zu handeln, welche wir zuweilen unserer Vergnügungssucht gestatten, zuweilen aber aus Furchtsamkeit mitmachen gegen die Vorschriften des Glaubens und der gemeinsamen Sittenzucht, Bei diesem Gegenstand will ich zuerst den Kampf über die Frage aufnehmen, ob der Diener Gottes dergleichen Dinge mit den Heiden mitmachen dürfe, in Kleidung, im Genuß von Speisen und in den sonstigen Freudenbezeigungen. Den Ausspruch, man solle sich freuen mit den Fröhlichen und trauern mit den Traurigen, hat der Apostel, der zur Einmütigkeit ermahnen will, getan mit Bezug auf die Mitbrüder1. Sonst haben in diesen Dingen Licht und Finsternis, Leben und Tod nichts miteinander gemein, oder wir stellen den Ausspruch auf den Kopf: „Die Welt wird sich freuen, ihr aber werdet trauern„2. Wenn wir uns mit der Welt freuen, so wird zu fürchten sein, dass wir auch mit der Welt trauern werden. Wir wollen lieber, wenn die Welt sich freut, trauern, dann werden wir uns nachher, wenn die Welt trauert, freuen. So erlangte Eleazar in der Unterwelt im Schösse Abrahams Trost und Erquickung, der Reiche dagegen befand sich in der Qual des Feuers, und so gleicht sich bei ihnen der Wechsel von Gutem und Bösem durch Vergeltung mit dem Gegenteil aus.

Es gibt gewisse Tage, wo man sich Geschenke macht, wodurch man gegen den einen der gebührenden Ehrerbietung Genüge tut, bei anderen eine schuldige Belohnung abträgt. Du sagst nun: ich will das Meinige annehmen und ändern das ihnen Gebührende geben. Wenn es der Fall ist, dass die Leute dieser Sitte eine abergläubische Weihe gegeben haben, warum nimmst du, der du ihrer Torheit fernstehst, an den üblichen Feierlichkeiten wie ein Götzendiener teil, als wenn auch für dich hinsichtlich des Tages eine Vorschrift gälte, das, was man einem ändern oder was der andere uns schuldig ist, nicht ohne die Beobachtung der dazu S. 158bestimmten Tage zu bezahlen oder in Empfang zu nehmen? Gib die Form an, unter der du mit dir verhandeln lassen willst! Denn warum wolltest du auch verborgen bleiben, wenn du durch das Nichtwissen des ändern dein Gewissen befleckst? Wenn man weiß, dass du ein Christ bist, so stellt man dich mit solchen Dingen auf die Probe, und du handelst gegen das Gewissen des ändern wie einer, der nicht Christ ist; wofern du dich aber gar verstellst, dann hast du in die Versuchung eingewilligt, Sicher bist du auf diese wie auf jene Weise der Sünde schuldig, dich Gottes geschämt zu haben. Aber es steht geschrieben: „Wer sich meiner schämt vor den Menschen, dessen werde ich mich auch schämen vor meinem Vater, der in den Himmeln ist“3.


  1. Die Christen. ↩

  2. Joh. 16,20. ↩

  3. Matth. 16,10,32. Luk. 9,26. ↩

Traduction Masquer
De l'idolatrie

XIII.

Evitons plutôt le souffle de cette peste, même du plus loin que nous le pourrons, non-seulement dans les choses que nous avons nommées, mais encore dans toute la série des superstitions humaines, qu'elles soient consacrées à des dieux, à des morts ou à des rois, parce qu'elles appartiennent aux mêmes esprits immondes, tantôt par des sacrifices et des sacerdoces, tantôt par des spectacles et d'autres jeux semblables, tantôt par des jours de fête. Mais que parlé-je des sacrifices et des sacerdoces? Quant aux spectacles et aux divertissements de cette nature, ils ont eu leur traité spécial. Il s'agit maintenant de dire un mot des fêtes et des autres solennités extraordinaires auxquelles nous assistons, soit par plaisir, soit par pusillanimité, communiquant ainsi avec les nations dans des rites idolâtriques, contre les prescriptions de la foi. J'examinerai d'abord ce point: est-il permis à un serviteur de Dieu de communiquer avec les païens, en participant soit à leurs vêtements, soit à leurs nourritures, soit enfin à leurs divertissements quels qu'ils soient? « Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent, pleurez avec ceux qui pleurent! » Ainsi parle l'Apôtre quand il exhorte ses frères à la concorde; mais d'ailleurs il ajoute: « Il n'y a rien de commun entre la lumière et les ténèbres, entre la vie et la mort; » ou bien déchirons ce qui est écrit: « Le monde se réjouira; vous, au contraire, vous pleurerez. » Si nous nous réjouissons avec le siècle, il est bien à craindre que nous ne pleurions aussi avec le siècle. Pleurons pendant que le siècle se réjouit, afin que nous nous réjouissions dans la suite quand le siècle pleurera. Ainsi « Lazare, descendu vers les lieux inférieurs, obtint le rafraîchissement dans le sein d'Abraham; le riche, au contraire, fut livré au tourment du feu. » Alternative différente qui compense le bien et le mal d'ici-bas pour l'un et l'autre.

Il y a dans l'année certains jours fixés pour les paiements, où les uns reçoivent les honoraires de leur charge, et les autres règlent leurs comptes avec les débiteurs. Voilà, dites-vous, que je vais recevoir ce qui m'est dû ou acquitter mes dettes. Si les hommes ont consacré cette coutume en vertu de quelque superstition, vous, étranger à toutes leurs vanités, pourquoi vous conformer aux solennités idolâtriques, comme s'il vous était aussi ordonné de payer ce que vous devez, ou de recevoir ce qui vous est dû à jour fixe. Commencez par agir comme vous voulez qu'on agisse avec vous. Pourquoi vous cacher, lorsque vous souillez votre conscience pour complaire aux préjugés d'un autre? Si vous laissez ignorez que vous êtes Chrétien, vous êtes exposé à la tentation, et vous agissez contre la conscience d'autrui, comme si vous n'étiez pas Chrétien. Dissimulez tant que vous voulez; on vous tente, donc vous êtes condamné: d'un côté ou d'un autre, vous êtes coupable pour avoir rougi de Dieu. Or, il est dit: « Quiconque rougira de moi devant les hommes, je rougirai de lui devant mon Père qui est dans les deux. »

  Imprimer   Rapporter une erreur
  • Afficher le texte
  • Référence bibliographique
  • Scans de cette version
Les éditions de cette œuvre
De Idololatria Comparer
Traductions de cette œuvre
De l'idolatrie
On Idolatry Comparer
Über den Götzendienst (BKV)
Commentaires sur cette œuvre
Einleitung: Kathechteische Schriften (Über die Schauspiele, Über die Idolatrie, über den weiblichen Putz, An die Märtyrer, Zeugnis der Seele, über die Busse, über das Gebet, über die Taufe, gegen die Juden, Aufforderung zur Keuschheit)
Elucidation - On Idolatry

Table des matières

Faculté de théologie, Patristique et histoire de l'Église ancienne
Miséricorde, Av. Europe 20, CH 1700 Fribourg

© 2025 Gregor Emmenegger
Mentions légales
Politique de confidentialité