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A cette même époque, et entre les livres sur les Académiciens, j’en écrivis deux sur l’Ordre, où je traite cette grande question Si l’ordre de la divine Providence contient tous les biens et les maux. Mais comme je remarquai que cette matière, si difficile à comprendre, ne pouvait, qu’avec assez de peine, parvenir par la discussion jusqu’à l’intelligence de mes interlocuteurs, je préférai les entretenir de l’ordre à observer dans leurs études et au moyen duquel on peut s’élever des choses corporelles aux incorporelles.