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Œuvres Augustin d'Hippone (354-430) Confessiones

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Bekenntnisse

12. Augustinus wird gezwungen, die Wissenschaften zu lernen; durch Gottes Fürsorge gereicht es ihm zum Guten.

Gerade im Knabenalter jedoch, das man nicht so sehr für mich wie die Jünglingszeit fürchtete, liebte ich die Wissenschaften nicht und haßte den Zwang des Unterrichts. Dennoch wurde ich dazu angehalten, und der Zwang tat mir gut, aber ich tat nicht gut. Denn ich hätte nicht gelernt, wenn man mich nicht dazu gezwungen hätte. Niemand aber handelt gut wider seinen Willen, mag auch gut sein, was er tut. So handelten auch nicht die gut, die mich zwangen, aber das Gute kam mir von dir, mein Gott. Denn als jene mich zu lernen zwangen, hatten sie kein anderes Ziel für mich im Auge als die Sättigung unersättlicher Gier nach reicher Armut und schimpflichem Ruhme. Du aber, „bei dem unsere Haare gezählt sind“1, wandtest den Irrtum aller derer, die mich zum Lernen anhielten, zu meinem Nutzen, meinen Irrtum aber, nicht lernen zu wollen, zu meiner Strafe; ich verdiente sie wohl, ein so kleiner Knabe und schon S. 16 ein so großer Sünder! So tatest du mir Gutes durch Jene, die nicht Gutes taten, und durch meine eigenen Sünden vergaltest du mir gerecht. Denn so hast du es befohlen, und es ist so, daß jeder ungeordnete Geist sich selbst zur Strafe wird.


  1. Matth. 10,30 ↩

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Les confessions de Saint Augustin

CHAPITRE XII. DIEU TOURNAIT A SON PROFIT L’IMPRÉVOYANCE MÊME QUI DIRIGEAIT SES ÉTUDES.

49. Ainsi, à cet âge même, que l’on redoutait moins pour moi que l’adolescence, je n’aimais point l’étude; je haïssais d’y être contraint, et (368) l’on m’y contraignait, et il m’en advenait bien: ? je n’eusse rien appris sans contrainte ? mais moi je faisais mal; car faire à contrecœur quelque chose de bon n’est pas bien faire. Et ceux même qui me forçaient à l’étude ne faisaient pas bien; mais bien m’en advenait par vous, mon Dieu. Eux ne voyaient pour moi, dans ce qu’ils me pressaient d’apprendre, qu’un moyen d’assouvir l’insatiable convoitise de cette opulence qui n’est que misère, de cette gloire qui n’est qu’infamie.

Mais vous, « qui savez le compte des cheveux de notre tête ( Matth. X, 30); » vous tourniez leur erreur à mon profit, et ma paresse, au châtiment que je méritais, si petit enfant, si grand pécheur. Ainsi, du mal qu’ils faisaient, vous tiriez mon bien, et de mes péchés, ma juste rétribution. Car vous avez ordonné, et il est ainsi, que tout esprit qui n’est pas dans l’ordre soit sa peine à lui-même.

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Bekenntnisse
Les confessions de Saint Augustin
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Einleitung in die Confessiones
Prolegomena
The Opinion of St. Augustin Concerning His Confessions, as Embodied in His Retractations, II. 6
Translator's Preface - Confessions

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