8.
J'ai appris de nos frères que vous écrivez contre les païens : si nous méritons quelque chose de votre coeur, envoyez incessamment pour que nous lisions. Votre cœur est un tel oracle du Seigneur, que nous en attendons les réponses les plus satisfaisantes et les plus claires contre des objections bruyantes et vides. Je crois que votre sainteté a les livres du très-saint pape Ambroise; je désire beaucoup ceux qu'il a écrits contre les ignorants et les superbes qui prétendent que le Seigneur a beaucoup appris dans les ouvrages de Platon 1.
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Ces livres de saint Ambroise ne nous sont point parvenus. ↩