16.
Mais peut-être que cet Israël ne comprend point encore les sacrifices que Dieu toujours en sa présence, et qu’il pense à ses boeufs, à ses chevreaux, à ses béliers. Arrière cette pensée: « Je n’accepterai point les veaux de tes étables’1 ». J’ai parlé d’holocauste, et déjà ta pensée courait à des troupeaux terrestres, tu m’y choisissais quelque pièce bien grasse: « Je n’accepterai point les veaux de tes étables ». Le Prophète annonce ici le Nouveau Testament, qui a mis fin aux anciens sacrifices. Car ils figuraient ce sacrifice à venir, dont le sang devait nous purifier. « Je n’accepterai point les veaux de vos étables, ni les boucs de vos troupeaux ».
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Ps. XLIX, 9. ↩