3.
« Vous êtes, ô Dieu, mon protecteur, mon refuge et mon libérateur (Id. 3 ) ». C’est vous qui m’avez protégé parce que je me suis réfugié en vous, et je me suis réfugié en vous, parce que vous m’avez délivré. « Le Seigneur est mon aide, en lui sera mon espoir ». C’est vous, ô Dieu, qui m’avez accordé la faveur de m’appeler, afin que je pusse espérer en vous. « Vous êtes mon protecteur, le boulevard de « mon salut, et mon rédempteur (Ibid. ) ». Vous êtes mon protecteur, parce que je n’ai point trop présumé de moi en élevant contre vous le boulevard de mon orgueil; mais c’est en vous que j’ai trouvé la puissance ou la haute et solide forteresse de mon salut; et pour me la faire trouver, vous m’avez racheté.