6.
« Vous êtes doux, ô mon Dieu »; ou, comme on lit dans plusieurs exemplaires « C’est vous qui êtes doux, ô mon Dieu1 ». D’autres encore: « Vous êtes doux »; d’autres:
« Vous êtes bon» : dans le sens que nous avons assigné plus haut à cette expression. « Et dans votre douceur, enseignez-moi vos justifications ». C’est avoir une véritable volonté d’accomplir les ordonnances du Seigneur, que vouloir les apprendre, dans la douceur, de ce même Dieu à qui il dit: « C’est vous, ô mon Dieu, qui êtes doux ».
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Ps. CXVIII, 68. ↩