13.
«Afin que ma gloire vous chante, et que nul aiguillon ne me meurtrisse 1». Afin qu’il n’y ait plus aucun deuil pour moi; mais que ma gloire chante vos louanges, et non plus mon humilité, puisque vous m’avez tiré de l’abaissement, et que la conscience de mon péché, la crainte de la mort et du jugement ne perce plus mon coeur. « Seigneur, mon Dieu, je vous bénirai éternellement ». C’est là ma gloire, ô mon Dieu, de proclamer hautement à votre louange qu’il n’y a rien en moi de moi-même , et que tout bien vient de vous, ô Dieu, qui êtes tout en tous (I Cor. XV, 28 ).
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Id. 13. ↩