4.
« Parce que votre main s’est appesantie sur moi le jour et la nuit ». Parce que, sous la douleur incessante de vos vengeances, « je me suis retourné dans ma souffrance, dont d’aiguillon me déchirait ». A la vue de ma misère, l’aiguillon de ma conscience m’a rendu malheureux.