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Bibliothek der Kirchenväter
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Œuvres Augustin d'Hippone (354-430)

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Zweiundzwanzig Bücher über den Gottesstaat (BKV)

42. Der Segen Jakobs über die Söhne Josephs, erteilt mit prophetischer Verschränkung der Hände.

Mit den beiden Söhnen Josephs aber hat es dieselbe Bewandtnis wie mit den zwei Söhnen Isaaks, mit Esau und Jakob, den Sinnbildern der zwei Völker, der Juden und der Christen [obwohl der leiblichen Abstammung nach weder die Juden auf Esau zurückgehen, der vielmehr Stammvater der Idumäer war, noch die christlichen Völkerschaften auf Jakob, den Stammvater der Juden; das Sinnbild hat eben nur insoweit Geltung, als es heißt1: „Der Ältere wird dem Jüngeren dienstbar sein“]: der ältere Sohn Josephs bildete die Juden vor, der jüngere die Christen. Als Jakob sie segnete und dabei die rechte Hand auf den jüngeren legte, den er zur Linken hatte, und die linke auf den älteren, den er zur Rechten hatte, da schien dies ihrem Vater bedenklich, und er machte seinen Vater aufmerksam und bezeichnete den älteren, als wollte er einen dem Vater Jakob unterlaufenen Irrtum beseitigen. Aber dieser wollte die Hände nicht wechseln, sondern sprach2: „Ich weiß, mein Sohn, ich weiß. Auch dieser wird zu einem Volke werden und er wird erhöht werden. Aber sein Band 16, S. 950jüngerer Bruder wird größer sein als er, und sein Same wird zu einer Menge Völker werden“. Auch hier deutet er auf die beiden Verheißungen hin. Denn der eine wird „zu einem Volke“, der andere „zu einer Menge Völker“ werden. Mit handgreiflicher Deutlichkeit wird durch diese beiden Verheißungen das israelitische Volk und der Erdkreis im Samen Abrahams zusammengefaßt, jenes als leibliche Nachkommenschaft, dieser als Nachkommenschaft im Glauben.


  1. Gen. 25, 23. ↩

  2. Ebd. 48, 19. ↩

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La cité de dieu

CHAPITRE XLII.

BÉNÉDICTION DES DEUX FILS DE JOSEPH PAR JACOB.

Or, comme les deux fils d’Isaac, Esaü et Jacob, ont été la figuré de deux peuplés, des Juifs et des Chrétiens, quoique selon la chair les Juifs ne soient pas issus d’Esaü, mais bien les Iduméens, pas plus que les Chrétiens ne le sont de Jacob, mais bien les Juifs, tout le sens de la figure se résume en ceci : « L’aîné sera soumis au cadet » ; il en est arrivé de même dans les deux fils de Joseph. L’aîné était la figure des Juifs, et le cadet celle des Chrétiens. Aussi Jacob, les bénissant, mit sa main droite sur le cadet qui était à sa gauche, et sa gauche sur l’aîné qui était à sa droite; et comme Joseph, leur père, fâché de cette méprise, voulut le faire changer, et lui montra l’aîné : « Je le sais bien, mon fils, répondit-il, je le sais bien. Celui-ci sera père d’un « peuple et deviendra très-puissant; mais son « cadet sera plus grand que lui, et de lui sortiront plusieurs nations1 ». Voilà deux promesses clairement distinctes. « L’un , dit l’Ecriture, sera père d’un peuple, et l’autre de plusieurs nations ». N’est-il pas de la dernière évidence que ces deux promesses embrassent le peuple juif et tous les autres peuples de la terre qui devaient également sortir d’Abraham, le premier selon la chair, et le reste selon la foi?


  1. Gen. XLVIII, 19.  ↩

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