16. La paix de notre coeur ne doit pas dépendre de la volonté des autres, mais de notre vertu.
Ne plaçons pas nos progrès et notre paix dans la volonté des autres, qui n'est pas soumise à notre pouvoir, mais cherchons-les plutôt en nous-même. Pour ne pas nous mettre en colère, nous ne devons pas nous servir de la perfection du prochain, mais de notre vertu; et cette vertu ne s'acquiert pas par la patience des autres, mais par notre propre douceur.