LIBANIUS A BASILE. CCCLVII.
Les trois lettres suivantes sont tirées des monuments de l'Eglise grecque , t. 2, p. 96 et 97 , et ne se trouvent pas dans les anciennes éditions. La première , qui n'est qu'un fragment, est de Libanius. Il loue le badinage noble et grave de son ami. On ne sait pas la peine que lui avait causée une de ses lettres, et qu'il le prie de dissiper.
POURQUOI Basile a-t-il été fâché d'écrire une lettre que je puis dire être un vrai modèle de bonne philosophie? C'est vous-même qui nous avez appris à badiner, mais à user d'un badinage noble et grave , tel qu'il convient à un vieillard. Je vous en conjure au nom de l'amitié et de nos études communes, dissipez la peine que m'a causée votre lettre