• Accueil
  • Œuvres
  • Introduction Instructions Collaboration Sponsors / Collaborateurs Copyrights Contact Mentions légales
Bibliothek der Kirchenväter
Recherche
DE EN FR
Œuvres Némésius d'Émèse (350-420) De natura hominis

Traduction Masquer
De la nature de l'homme

Chapitre XI. DE L'ODORAT.

La perception des odeurs commence dans les narines, et elle s'achève vers les extrémités des ventricules antérieurs du cerveau : car ceux-ci étant d'une nature vaporeuse, perçoivent aisément les odeurs. En effet, nous avons dit précédemment que chacun des organes s'applique, par une sorte de sympathie, à la perception des choses qui ont de l'analogie avec lui.

Le cerveau ne donne pas naissance à des nerfs sensitifs, pour l'odorat, comme pour les autres sens ; mais lui-même en fait l'office par ses extrémités, et il reçoit directement l'impression des odeurs.

Les odeurs se divisent, d'une manière générale, en bonnes, mauvaises et moyennes : ces dernières comprennent celles qui ne sont ni bonnes, ni mauvaises. La bonne odeur résulte de la bonne 118 coction des humeurs qui sont dans les corps, la moyenne de leur constitution moyenne, la mauvaise de ce qu'elles sont peu ou mal réglées.

Traduction Masquer
Anthropologie

Kapitel 11: Der Geruch

S. 59 Was den Geruch betrift, so geht er durch die Nase, er dringt bis zu den Enden der vorderen Gehirnhöhlen. Diese sind von Natur sehr dampfartig, daher nehmen sie leicht die Dämpfe auf. Schon oben ist davon die Rede gewesen: jedes einzelne der Sinneswerkzeuge nimmt auf Grund einer gewissen Aehnlichkeit und Verwandtschaft die ihm eigentümlichen Sinnesgegenstande wahr. Freilich in der Weise, wie das Gehirn den anderen Sinneswerkzeugen einen Empfindungsnerv hinablaufen ließ, so verfuhr es nicht auch gegenüber dem Geruch; im Gegenteil versieht das Gehirn mit seinen eigenen Enden die Nerventätigkeit und nimmt die aufsteigenden Dämpfe entgegen. Den allgemeinsten Unterschied unter den Dämpfen vergegenwärtigen der gute und der üble Geruch sowie der Geruch mitten zwischen diesen, der nicht wohl und nicht übel duftet. Wohlgeruch entwickelt sich aus der gründlichen Verdampfung der Feuchtigkeiten in den Körpern; bei mittelmäßigem Verkochen entsteht der mittlere Geruch; der üble Geruch kommt von ziemlich mangelhafter oder gänzlich fehlender Verdampfung.

  Imprimer   Rapporter une erreur
  • Afficher le texte
  • Référence bibliographique
  • Scans de cette version
Les éditions de cette œuvre
κεφαλαίωδης περὶ φύσεως ἀνθρώπου Comparer
Traductions de cette œuvre
Anthropologie
De la nature de l'homme
Commentaires sur cette œuvre
Einleitung und Vorwort zur Anthropologie Nemesios von Emesa
Introduction: De la nature de l'homme

Table des matières

Faculté de théologie, Patristique et histoire de l'Église ancienne
Miséricorde, Av. Europe 20, CH 1700 Fribourg

© 2025 Gregor Emmenegger
Mentions légales
Politique de confidentialité