XXXV.
Le bien étranger 1. — Les biens de la terre, voilà ce que Notre-Seigneur appelle ici biens étrangers, car personne ne les emporte avec soi en mourant, suivant cette parole de David : « Ne crains pas, lorsqu'un homme sera devenu riche, et que sa maison sera élevée au comble de la gloire : car, lorsqu'il mourra, « il n'en emportera rien, et sa gloire ne descendra pas avec lui dans le tombeau 2. »