4.
Voici la suite: « Que les justes se rassasient, qu’ils tressaillent en la présence du «Seigneur, qu’ils s’abreuvent de ses joies1».
Car, alors, ils entendront: « Venez, bénis de mon Père, et recevez le royaume2. Qu’ils « soient donc dans la joie e ceux qui ont été dans la tristesse, et qu’ils tressaillent en présence du Seigneur ». Cette allégresse ne donnera point une vaine jactance, comme il arrive en présence des hommes, mais elle éclatera en présence de Celui qui voit sans se tromper ses propres dons. « Qu’ils s’abreuvent de ses joies »; non pas dans une allégresse mêlée de crainte3, comme il arrive ici-bas, tant que la vie de l’homme sur la terre est une tentation4.