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Große Katechese (BKV)
3.
Die Ereignisse aber, welche nach unserer Glaubenslehre auf den Kreuzestod folgten, sind sämtlich derartig, daß auch die Ungläubigen zugeben, keines enthalte etwas Gottes Unwürdiges. Denn wenn er nicht im Tode blieb und alle Wunden, die das Eisen seinem Leibe zufügte, die Auferstehung nicht zu verhindern vermochten, wenn er dann nach der Auferstehung ganz nach seinem Ermessen den Jüngern erschien, sooft er, ohne von anderen gesehen zu werden, bei ihnen sein und in ihrer Mitte verweilen wollte, wobei er nicht nötig hatte, durch die Türe einzutreten, wenn er ferner den Jüngern durch die Verleihung des Heiligen Geistes Stärke verleiht und ihnen die Verheißung gibt, bei ihnen zu verbleiben und durch keine Scheidewand von ihnen getrennt zu werden, und wenn er endlich seiner sichtbaren Erscheinung nach zum Himmel auffährt, dem Geiste nach überall ist und was sonst dergleichen der Bericht von ihm erzählt ― so bedarf all das nicht erst der Hilfe vieler Vernunftgründe, um als göttlich und der allerhabenen, höchsten Macht würdig befunden zu werden. Hierüber sind, wie ich glaube, Einzeluntersuchungen nicht nötig, da der Bericht selbst die Übernatürlichkeit ganz klar hervorhebt.
S. 66 Allein da zu den geheimnisvollen Lehren unseres Glaubens auch die Heilsordnung des Wasserbades gehört, das man Taufe oder Erleuchtung oder Wiedergeburt nennen mag (denn wegen Namen streiten wir nicht), so dürfte es gut sein, auch hievon in Kürze zu handeln.
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Discours Catéchétique
3.
[10] Voilà le mystère qui nous a été enseigné au sujet de la croix. Quant aux faits qui viennent à la suite dans le récit, leur enchaînement est si naturel que, de l'aveu des incrédules eux-mêmes, rien n'y est étranger à l'idée qu'on doit se faire de Dieu. Que le Sauveur ne soit pas resté dans la mort, que les blessures faites au corps par la lance ne soient pas devenues un obstacle à son existence, qu'après la résurrection il soit apparu librement à ses disciples, quand il désirait être à leurs côtés, en restant invisible, et se trouver au milieu d'eux, sans avoir besoin d'entrer par les portes, qu'il ait fortifié les disciples en leur insufflant l'esprit, qu'il leur ait annoncé aussi qu'il était avec eux et que rien ne les séparait de lui, que les yeux l'aient vu s'élever au ciel, tandis que la pensée le sent partout, voilà des faits qui n'ont pas besoin de l'aide du raisonnement pour révéler leur nature divine, ou pour dénoter la puissance sublime et supérieure. [11] Il est inutile, ce me semble, de les passer en revue l'un après l'autre, car le récit en fait éclater de lui-même le caractère surnaturel. Mais puisque les dispositions divines relatives à la purification par l'eau font partie, elles aussi, des enseignements révélés, — qu'on veuille les nommer baptême, illumination ou régénération, nous ne disputerons pas sur la forme du mot, — il serait bon là-dessus encore de dire quelques mots.