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Große Katechese (BKV)
1.
Allgemein wird zugestanden, daß man Gott nicht bloß für mächtig halten müsse, sondern auch für gerecht und gütig und weise und was sonst unser Denken zur Vollkommenheit rechnet. Folglich darf man auch hinsichtlich des Heilsratschlusses der Menschwerdung, die nun zur Erörterung steht, auch nicht verlangen, daß nur eine der göttlichen Eigenschaften hervortrete, alle übrigen dagegen ausgeschaltet würden. Überhaupt kann keine der herrlichen Eigenschaften, die wir Gott zugestehen, als eine Vollkommenheit angesehen werden, wenn sie für sich allein, losgelöst von den übrigen, betrachtet wird; so S. 43 ist weder die Güte wahre Güte, wenn sie nicht mit Gerechtigkeit, Weisheit und Macht gepaart ist ― denn was ungerecht, unweise und schwach ist, ist keine wahre Güte ―; noch sieht man die Macht, wenn sie von Gerechtigkeit und Güte getrennt ist, als eine Vollkommenheit an; denn eine solche Art von Macht wäre Brutalität und Willkür. Und dies gilt von allen göttlichen Attributen. Wäre die Weisheit nicht von der Gerechtigkeit oder die Gerechtigkeit nicht von Macht und Güte begleitet, so würde man diese Eigenschaften eher als Untugenden denn als Tugenden bezeichnen.
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Discours Catéchétique
1.
Tout le monde convient que la foi doit attribuer à la Divinité non seulement la puissance, mais aussi la justice, In bonté, la sagesse, et tout ce qui porte la pensée vers la nature supérieure. Par suite, pour le plan dont nous parlons, il est impossible que tel des attributs convenables à Dieu tende à se manifester dans les faits accomplis à l'exception de tel autre. Car il n'est absolument aucun de ces noms sublimes qui représente en soi, et en soi seul, une vertu indépendamment des autres : la bonté n'est pas vraiment telle, si elle n'est placée aux côtés de la justice, de la sagesse et de la puissance; car l'absence de justice, ou de sagesse, ou de puissance n'a pas le caractère du bien. De même la puissance séparée de la justice et de la sagesse n'est pas conçue comme rentrant dans la vertu, car la puissance, sous cette forme, est une chose brutale et tyrannique. [2] De même aussi les autres attributs, la sagesse, si elle était donnée indépendamment de la justice, ou la justice, si elle n'était conçue avec la puissance et le bien, seraient, dans ces conditions, appelées plus justement du nom de vice ; car ce qui manque de l'élément supérieur, comment le compter au nombre des biens?