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Ägyptische Erzählungen über die Vorsehung
Aegyptische Erzählungen über die Vorsehung.
Vorrede
S. 69 Die Schrift wurde auf Taures-Söhne verfaßt, und der erste Theil bis zu dem Räthsel von dem Wolfe besonders zu der Zeit gelesen, wo jener Ruchlose, welcher durch Aufruhr emporgekommen war, die Herrschaft behauptete. Der folgende wurde nach der Rückkehr der edelsten Männer angeknüpft, weil sie wünschten, daß die Schrift nicht unvollendet bei den Unfällen verweilen, sondern, da das Vorhergesagte durch göttliche Fügung in Erfüllung zu gehen schien, den nämlichen Gegenstand weiter verfolgen und auch ihre bessern Schicksale erzählen möchte. Als es bereits daran war, daß der Wütherich gestürzt werden sollte, schritt die Erzählung zugleich mit den Begebenheiten fort. Besonders verdient an ihr bewundert zu werden, daß den mannichfaltigen Gegenständen die Behandlung entsprochen habe; denn viele bis jetzt nicht gewürdigte Lehrsätze haben S. 70 eine Stelle der Betrachtung in dieser Dichtung gefunden, alles wurde genau erörtert, es werden Lebensbeschreibungen entworfen, welche Beispiele der Lasterhaftigkeit und Tugend darstellen werden, die Schrift enthält eine Geschichte der Zeitbegebenheiten, und der Mythos, ist durchaus so bearbeitet, daß er mit dem Nützlichen Mannichfaltigkeit vereint.
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L'Égyptien ou De la providence
L'Égyptien ou De la providence
PRÉFACE
La première moitié de ce livre a été écrite sous les fils de Taurus, et elle a été lue en public jusqu’à l’énigme du loup:1 à ce moment-là les méchants triomphaient, grâce à la sédition. La seconde partie a été ajoutée après le retour.2 Des personnages distingués m’invitaient à ne pas laisser mon livre incomplet je devais, pensaient-ils, ne pas rester sur le récit des malheurs publics; mais, puisqu’on avait vu l’accomplissement de toutes les prédictions de Dieu, il fallait poursuivre la narration, et la mener jusqu’au jour où la fortune était redevenue meilleure. Au lieu de m’arrêter au moment où la chute de la tyrannie se préparait, j’ai donc continué cette histoire. On ne saurait assez remarquer tout ce qu’embrasse le sujet que je traite. Dans cette œuvre j’expose et j’établis des dogmes qui n’avaient pas encore été énoncés; je mets sous les yeux du lecteur deux vies qui sont l’image, l’une de la vertu, l’autre du crime; mon livre est la représentation de notre époque; et tous les développements, dans leur variété, concourent vers un but utile.