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Histoire ecclésiastique
CHAPITRE XI : CEUX DE PHRYGIE
[1] C'est alors, en effet, que toute une petite ville de chrétiens en Phrygie, avec ses habitants, fut entourée par des soldats, qui allumèrent un incendie et brûlèrent tout avec les enfants et les femmes, tandis que ceux-ci imploraient le Dieu de l'univers. Le motif de cela était qu'en masse, tous les habitants de la ville, le curateur, le chef militaire, avec ceux qui étaient en charge et le peuple entier s'étaient proclamés chrétiens et n'avaient en aucune façon obéi à ceux qui ordonnaient d'adorer les idoles.1
[2] Un autre chrétien aussi avait obtenu une charge romaine, il s'appelait Adaucle et était illustre par sa race en Italie; il avait passé par tous les grades auprès des empereurs, si bien qu'il exerçait sans reproche l'administration générale de ce qui est appelé chez eux la magistrature [du domaine privé] et aussi des finances générales ; il s'était, en outre de tout cela, fait remarquer par la rectitude de sa conduite dans la religion et par ses confessions concernant le Christ de Dieu ; il fut orné du diadème du martyre et il était encore dans l'office même de sa charge des finances, quand il soutint le combat pour la religion.
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πολίχνην, AERT, πόλιν BDM. ↩
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Kirchengeschichte (BKV)
11. Kap. Die Märtyrer in Phrygien.
So umzingelten eben erst Soldaten ein ganzes von Christen bewohntes Städtchen in Phrygien, warfen Feuer hinein und verbrannten die Insassen samt Frauen und Kindern, die da laut zu Gott, der über allem ist, um Hilfe riefen. Denn die gesamte Einwohnerschaft, der Logist selbst und die Beamten nebst dem Rate und dem ganzen Volke, bekannte sich zu Christus und gehorchte in keiner Weise dem Befehle, den Götzen zu opfern.
Da lebte weiter ein Mann, namens Adauktus, ein römischer Würdenträger aus vornehmem italischen Geschlechte, der alle kaiserlichen Ehrenstufen durchlaufen, S. 389 ja sogar die Verwaltung der Hofkasse und des Fiskus1 tadellos geführt hatte. Und da er sich zu alledem durch die edlen Werke der Gottesfurcht und die Bekenntnisse zu dem Gesalbten Gottes auszeichnete, wurde er mit der Krone des Martyriums geschmückt. Er hatte noch die Stelle des Finanzverwalters inne, da er den Kampf für die Frömmigkeit bestand.
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τὰς καθόλου διοικήσεις τῆς μαγιστρότητός τε καὶ καθολικότητος. Adauktus war also zuerst magister summarum rationum, d. i. Obervorsteher der ratio privata, dann rationalis, d. i. Leiter des Fiskus. Vgl. Otto Hirschfeld, „Die kaiserlichen Verwaltungsbeamten bis auf Diokletian“2 (Berlin 1905) S. 38. ↩