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Kirchengeschichte (BKV)
4. Kap. Die Bittgesuche gegen uns.
Nachdem einmal der Plan des Theoteknus gelungen, faßten alle übrigen Beamten, die die Städte unter derselben Herrschaft bewohnten, eiligst den gleichen Be- S. 413 schluß. Denn die Statthalter in den Provinzen hatten gesehen, daß solches Vorgehen dem Kaiser angenehm war, und so ihren Untergebenen heimlich Weisung erteilt, ebenso zu handeln. Als der Tyrann in einem Reskripte bereitwilligst ihren Bitten1 1 stattgab, da entbrannte die Verfolgung gegen uns von neuem. In allen Städten wurden nun von Maximinus selbst Götzenpriester und dazu Oberpriester eingesetzt. Hierfür wählte er Männer, die sich im Staatsdienste in besonderer Weise ausgezeichnet und sich in allen Stellungen hervorgetan hatten. Diese ließen sich den Kult der Götter, mit deren Dienst man sie betraut, aufs eifrigste angelegen sein. Der außerordentliche Aberglaube des Herrschers veranlaßte, um es kurz zu sagen, alle Untertanen, Befehlende und Gehorchende, ihm zu Gefallen sich alles gegen uns zu erlauben. Leisteten sie ihm doch für die Wohltaten, die sie von ihm zu empfangen glaubten, den größten Gegendienst damit, daß sie auf Mord wider uns sannen und stets neue Leiden gegen uns erdachten.
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So übersetzen ψυφίσμασιν mit Rücksicht auf c. 2 (S. 412) richtig Lawlor und Oulton. ↩
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Histoire ecclésiastique
CHAPITRE IV : LES DÉCRETS CONTRE NOUS
[1] Le premier, il agit selon cette pensée, et tout le 15 reste des gens en charge qui habitaient les villes sous la même autorité se mettent à faire prendre une semblable résolution, et les gouverneurs de chaque province, voyant que cela est agréable à l'empereur, suggèrent à leurs subordonnés de le tenter aussi. [2] Dans le rescrit, le tyran approuve avec un très grand plaisir leurs décrets, et de nouveau la persécution contre nous recommence à s'allumer. En chaque ville, Maximin lui-même établit pour les idoles comme prêtres, et au-dessus d'eux comme pontifes, ceux qui se sont fait le plus remarquer dans l'exercice des charges de la cité et qui se sont acquis de la réputation par toutes ces magistratures ; ceux-ci montraient du reste un grand zèle dans l'exercice des cérémonies qu'ils accomplissaient. [3] La piété étrange du maître pour les démons poussait, en un mot, tous les fonctionnaires, ses subordonnés, ainsi que ses sujets à faire tout contre nous en vue d'obtenir sa faveur. En retour des bienfaits qu'ils pensaient recevoir de lui, ils lui rendaient ce grand service d'aimer à nous mettre à mort et de manifester à notre égard des méchancetés inédites.