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Commentaire sur la première épitre aux Corinthiens
1.
Ici il fait allusion aux gourmands. Devant revenir au fornicateur, et la fornication étant le fruit de la volupté et des excès de table, il blâme amèrement ce vice. Il ne parle pas des choses défendues (celles-ci, sont permises) , mais des choses qui semblent indifférentes. Exemple : il est permis, leur dit-il, de manger et de boire ; mais il n'est pas avantageux de le faire avec excès. Manière étonnante et inouïe, qui cependant lui est habituelle et qu'il emploie encore, ici : il tourne la chose dans le sens contraire , et montre que le pouvoir de faire, non-seulement n'est pas avantageux, mais est moins un acte de liberté qu'un (402) signe d'esclavage. D'abord il dissuade par la raison du désavantage, en disant : « Ne m'est pas avantageux » ; et en second lieu , par celle du contraire, en disant: «Je ne serai l'esclave d'aucune chose ». Ce qui signifie : Il est en votre pouvoir de manger; conservez donc ce pouvoir; mais prenez garde d'en devenir esclave. Celui qui en usé dans la mesure du besoin, en est le maître; celui qui va jusqu'à l'excès n'en est plus le maître, mais l'esclave ; la gourmandise exerce sur lui sa tyrannie. Voyez-vous comme il démontre que celui qui croit être le maître est réellement assujetti? C'est l'usage de Paul, je l'ai déjà dit, de tourner les objections en sens contraire, et c'est ce qu'il fait ici. Examinez un peu, chacun d'eux disait : Il n'est permis de me livrer au plaisir; lui répond : En le faisant, vous n'exercez pas un pouvoir, vous subissez une servitude. Car vous n'êtes pas le maître de votre estomac, quand vous vous livrez à l’intempérance, mais c'est lui qui vous domine. On en peut dire autant des richesses et d'autres choses encore.
« Les aliments sont pour le ventre ». Par ventre il entend ici non le ventre proprement dit, mais la gourmandise; comme quand il dit : « Dont le Dieu est le ventre » (Philip. III, 19) ; ce n'est pas de l'organe qu'il parle, mais de la gloutonnerie. Pour preuve , écoutez la suite : « Et le ventre pour les aliments. Or le « corps n'est point pour la fornication, mais pour le Seigneur ». Or le ventre est aussi le corps. Mais il a fait ici deux rapprochements les aliments et l'intempérance qu'il appelle le ventre, le Christ et le corps. Que signifient ces paroles : « Les aliments sont pour le ventre?» Cela veut dire : Les aliments ont de l'affinité avec l'intempérance, et celle-ci en a avec l'estomac. Elle ne vaut donc nous amener au Christ, mais elle nous entraîne vers les aliments. C'est une passion mauvaise, animale, qui nous rend esclaves et se fait servir. Pourquoi donc, ô homme, vous inquiétez-vous, soupirez-vous pour des aliments? Car voilà à quoi aboutit ce service , et pas à autre chose. C'est une maîtresse qu'on sert, c'est un esclave permanent, et cela ne va pas au delà; il n'y a rien de plus que ce vain ministère. Et les deux sont unis entre eux et périssent ensemble, le ventre et les aliments, les aliments et le ventre; c'est un cercle qui ne finit pas, comme si les vers naissaient d'un corps putréfait et le dévoraient à leur tour, ou comme le flot qui; se gonfle et disparaît ensuite sans autre résultat. Or ce n'est pas précisément des aliments et du corps que l'apôtre parle ; mais il veut blâmer, le vice de la gourmandise et l'excès dans la nourriture, comme la suite le prouve: Car il ajoute : « Mais Dieu détruira l'un et l'autre ». Ce n'est pas de l'estomac qu'il dit cela, mais de l'intempérance; ni des aliments, mais de la volupté. Ce n'est point aux besoins du corps qu'il en veut , puisqu'il les règle, en disant : « Ayant la nourriture et le vêtement, contentons-nous-en » (I Tim. VI, 8); mais par, là même il désapprouve le vice, et après avoir donné un conseil, il confie le succès à la prière. Quelques-uns disent que c'est ici fine prophétie relative ait siècle futur où l'on né sera plus obligé de manger et de boire. Alors si l'usage modéré doit avoir un terme, c'est une raison de plus pour ne pas abuser. Ensuite pour qu'on ne dise pas que c'est le corps même qui est en cause, que dans la partie le tout est condamné, et encore que le corps est la cause de la fornication, écoutez la suite : Je n'accuse point la nature du corps, dit-il, mais l'intempérance de l'âme. C'est pourquoi il ajoute : « Or le corps n'est point pour la fornication mais pour le Seigneur ». Il n'a point été créé ; pour servir d'instrument à la débauche et à la fornication, pas plus que le ventre pour la gourmandise; mais pour suivre le Christ, son chef, en sorte que le Seigneur soit la tête du corps entier. Craignons donc , tremblons donc d'être souillés de tant de vices, nous qui avons reçu l'insigne honneur d'être les membres d'un chef assis au ciel ; après avoir ainsi suffisamment blâmé les intempérances, il les détourne encore de ce vice, en disant: « Car Dieu a ressuscité le Seigneur et nous ressuscitera aussi par sa puissance. »
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Homilien über den ersten Brief an die Korinther (BKV)
I.
12. Alles steht mir zu Gebote, aber nicht Alles frommt; Alles steht mir zu Gebote, aber ich soll unter keines Dinges Botmäßigkeit stehen.
I. Hiermit deutet er auf die Bauchdiener. Denn weil er auf den Unzüchtigen wieder zurückkommen will, die Unzucht aber aus Wohlleben und Unmäßigkeit entspringt, so rügt er diese Leidenschaft mit aller Schärfe. Er redet hier nicht von sündhaften Dingen, denn diese sind ja verboten, sondern von solchen, die an sich gleichgiltig scheinen. So ist z. B., wie er sagt, Essen und Trinken erlaubt, Schwelgerei aber frommt nicht. Und wie er sonst oft auf eine bewunderungswürdige und auffallende Weise die Rede auf das Gegentheil lenkt, so macht er es auch hier und zeigt, daß es nicht nur Nichts frommt, Alles zu thun, was erlaubt ist, sondern daß Dieses sogar nicht ein Beweis von Freiheit, sondern eher von Knechtschaft ist. Zuerst mahnt er davon ab, weil es Nichts nütze, indem er sagt: „Aber es frommt nicht;“ dann aber auch durch das Gegentheil mit den Worten: „Ich aber soll unter keines Dinges Botmäßigkeit stehen.“ Er will damit sagen: Es ist dir S. 279 erlaubt, zu essen; bewahre also diese Freiheit und siehe zu, daß du kein Sklave dieser Leidenschaft wirst; denn wer sich einer Sache, wie es sich ziemet, bedient, der bleibt Herr derselben; wer aber die Gränzen der Mäßigkeit überschreitet, der ist nicht mehr Herr, sondern Knecht, indem die Völlerei ihn tyrannisirt. Siehst du, wie er darthut, daß Derjenige, der da wähnt, die Herrschaft zu üben, unter der Herrschaft stehe? Denn Paulus pflegt, wie ich schon sagte, aus den Einwürfen oft das Gegentheil zu beweisen, so wie er es hier thut. Betrachte nur: Jeder von ihnen sagt: Schwelgen ist mir erlaubt; er aber sagt: Du treibst aber Das nicht so, als haltest du es in deiner Gewalt, sondern du bist seiner Gewalt unterworfen; denn solange du ein Schwelger bist, hast du nicht die Herrschaft über den Bauch, sondern der Bauch herrscht über dich. Dasselbe läßt sich vom Gelde und von andern Dingen behaupten.
13. Die Speisen sind für den Bauch.
Unter Bauch versteht er nicht den Magen, sondern die Schlemmerei, gleichwie er anderswo sagt: „Deren Gott ihr Bauch ist“1 und darunter nicht den Bauch, sondern die Unmäßigteit versteht. Daß Dem aber so sei, entnimm aus dem Folgenden: „Und der Bauch für die Speisen; der Leib aber ist nicht für die Unzucht, sondern für den Herrn.“ Nun aber gehört doch auch der Bauch zu dem Leibe. Er verbindet aber zwei Gegenstände: die Speise und die Schlemmerei, welche er durch den Ausdruck „Bauch“ bezeichnet, und ferner Christus und den Leib. Was heißt aber Das: „Die Speisen sind für den Bauch“? Es heißt: Die Speisen und die Schlemmerei sind Freunde, ebenso diese und der Bauch. Daher können sie uns nicht zu Christus hinführen, sondern sie ziehen uns an sich; denn es ist eine arge und viehische Lei- S. 280 denschaft, die uns zu Sklaven macht und ihr uns unterjocht. Warum also sehnst du dich denn, o Mensch, so gierig nach Speise? Denn das Ende jener Sklaverei ist viehisches Wesen und weiter Nichts. Gleich einer Gebieterin dient ihr der Sklave beständig und kennt nichts Anderes als diese thörichte Beschäftigung. Beide — der Magen und die Speisen — sind mit einander verbunden und vergehen mit einander. So bilden sie einen nie zu beendenden Kreislauf, wie wenn aus dem modernden Leib sich Würmer erzeugen und wieder von den Würmern der Körper zerstört wird, oder wie wenn die Woge sich bis zum höchsten Gipfel erhebt und dann ohne weitere Wirkung zerschellt. Dieses aber sagt er nicht in Bezug auf Speise und Leib, sondern tadelt das Laster der Völlerei und Unmäßigkeit, wie das Folgende zeigt; denn er fügt bei: „Gott aber wird sowohl diese als jenen zerstören,“ was er nicht in Bezug auf den Magen, sondern auf die unmäßige Begierde, nicht in Bezug aus die Speisen, sondern auf das Übermaß sagt. Denn die Speisen verwirft er nicht, sondern gibt sogar in Betreff derselben die Vorschrift: „Wenn wir Nahrung und Kleidung haben, so lasset uns damit zufrieden sein!“2 So rügt er die Unmäßigkeit und wirkt durch Rath und Wünsche zur Besserung. Einige aber behaupten, diese Worte seien eine Weissagung, welche den Zustand im künftigen Leben enthülle; dort werde man weder essen noch trinken. Wenn nun selbst der mäßige Genuß aufhören wird, um so viel mehr geziemt es sich, die Unmäßigkeit zu fliehen. Damit man aber nicht wähne, dieses sei eine Anklage gegen den Leib, und die Rüge eines Theiles gelte dem Ganzen, und damit man nicht sagen könne, die Natur des Körpers sei Ursache der Unzucht, so höre, was er ferner sagt: Nicht die Natur des Körpers klage ich an, sondern die unordentliche Begierde der Seele: „Der Leib aber ist nicht für die Unzucht, sondern für den Herrn.“ S. 281 Denn er wurde nicht dazu gebildet, daß er unordentlich lebe und Unzucht treibe, gleichwie auch der Bauch nicht zur Schwelgerei geschaffen ist, sondern damit er Christo, seinem Haupte, folge und der Herr den Leib regiere. Schämen sollen wir uns und erschaudern, daß wir, einer solchen Ehre gewürdigt und Glieder Desjenigen, der im Himmel thront, uns durch so große Laster entehren. Nachdem er nun die Schlemmer scharf gerügt hatte, schreckt er sie auch durch die Furcht vor den künftigen Dingen von diesem Laster zurück mit den Worten: