7.
L’E. Arrivons au spondée. Le trochée a satisfait mon oreille. — Le M. Eh bien! voici les diverses espèces de mètres spondaïques :
Magnorum est,
Libertas.
Magnum est munus
Libertatis.
Solus liber rit,
Qui errorem vincit.
Solus liber vivit,
Qui errorem jam vivit.
Solus liber vere fit,
Qui erroris vinclum vieil.
Solus liber vere vivit,
Qui erroris vinclum jam vieil.
Solus liber non falso vivit,
Qui erroris vinclum java devicit.
Sol us liber jure ac vere vivit,
Qui erroris vinclum magnus devicit.
Solus liber jure ac non falso vivit,
Qui erroris vinclum funestum devicit.
Solus liber jure ac vere magnus vivit,
Qui erroris vinclum funestum jam devicit.
Solus liber jure ac non falso magnus vivit,
Qui erroris vinclum funestum prudens devicit.
Solus liber jure ac. non falso securus vivit,
Qui erroris vinclum funestum prudens jam devicit.
Solus liber jure ac non falso securus jam vivit,
Qui erroris vinclum tetrum ac funestum prudens devicit
Solus liber jure ac non falso securam vitam vivit,
Qui erroris vinclum tetrum ac funestum prudens jam devicit 1.
La liberté est le privilège des grands coeurs. Immense est le bienfait de la liberté. Celui-la seul devient libre qui triomphe de l'erreur. Celui-là seul vit en liberté qui déjà a triomphé de l'erreur. Celui-là devient seul libre qui brise les chaires de l'erreur. Celui-là mène une vie vraiment libre qui a déjà brisé les chaînes de l’erreur. Celui-là seul n'a pas une vie trompeuse, qui déjà a brisé les chaînes de l'erreur. Celui-là seul vit légitimement et véritablement libre, qui dans sa grandeur d'âme a brisé les chaînes de l’erreur. Celui-là seul vit réellement et sans mensonge en liberté, qui a brisé les claies funestes de l'erreur. L'homme libre seul mène une vie pleine d'une grandeur réelle et sans mensonge, quand il a déjà brisé les fumes chaînes de l'erreur. L'homme libre seul a une vie pleine de grandes et sans mensonge, quand il a prudemment brisé les chaînes de l’erreur. L'homme libre seul vit réellement et sans mensonge en sécurité, quand il a déjà prudemment brisé les funestes chaînes de l’erreur. L’homme libre seul vit déjà en sécurité réellement et sans feinte quand il a déjà brisé prudemment les chaînes cruelles et funestes de l'erreur. L'homme libre seul mène une vie tranquille réellement d sans feinte, quand il a déjà prudemment brisé les chaires cruelles et funestes de l’erreur. ↩
