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Histoire ecclésiastique
CHAPITRE XIII : LA PAIX SOUS GALLIEN
[1] Mais peu après, Valérien fut réduit en servitude par les barbares; son fils, régnant seul , usa plus sagement du pouvoir, fit aussitôt cesser par des édits la persécution contre nous et enjoignit par rescrit aux chefs de l'Eglise de remplir leurs fonctions accoutumées en liberté; voici le texte :
« L'empereur César Publius Licinius Gallien, Pieux, Heureux, Auguste à Denys, Pinna et Démétrius et aux autres évêques. J'ai ordonné de faire répandre la bienfaisance de ma générosité à travers tout le monde, afin qu'on évacue les lieux de culte et conséquemment que . vous puissiez jouir du texte de mon rescrit sans que personne ne vous moleste. Kl en cela ce qui peut être occupé à nouveau par vous, selon le possible, a déjà été accordé par moi depuis longtemps : c'est pourquoi Auré-lius Quirinius, l'intendant de l'affaire suprême, gardera l'ordonnance par moi donnée. » .
Voilà inséré ce qui a été traduit le plus clairement possible du latin. On montre encore du même prince une autre ordonnance qui a été faite pour d'autres évêques, où il permet de recouvrer les lieux appelés cimetières.1
La captivité de Valérien chez les Parthes se place vers 259. Son fils, Gallien, était précédemment associé à l'empire. Voy. NIESE, Grundriss der römischen Geschichte, 4e éd. (Munich, 1910), p. 370, n. 2. Eusèbe ne reproduit pas les édits, mais un rescrit sur un point particulier. Ce rescrit n'a pu être obtenu qu'après la défaite de Macrianus (261 ou 262; voy. plus haut, x, 8). - Pinnas est inconnu; Démétrius est peut-être nommé plus haut, x,, 24. - ἀποχωρήσωσιν a pour sujet.un pluriel indéterminé, les gens qui avaient occupé les possessions des communautés à la faveur de la persécution. - συγκεχώρηται: par l'édit .- La fonction d'Aurelius Quirinius peut être identique à celle de Macrianus (x, 5; cf. IX, xi, 4), mais peut concerner seulement l'Egypte. — κοιμητηρίων : cf. xi, 10. ↩
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Kirchengeschichte (BKV)
13. Kap. Der Friede unter Gallienus.
Nicht lange nachher geriet Valerianus in die Knechtschaft der Barbaren,1 und sein Sohn wurde Alleinherrscher. Seine Regierung war besonnener. Er stellte sofort durch Edikte die Verfolgung gegen uns ein und verordnete in einem Reskripte, daß die Vorsteher des Wortes ihren gewohnten Verpflichtungen frei nachgehen könnten. Dasselbe lautet also: „Der Kaiser Cäsar Publius Licinius Gallienus der Fromme, Glückliche, Erlauchte an Dionysius, Pinnas, Demetrius und die übrigen Bischöfe. Ich habe Befehl gegeben, daß die Wohltat meines Gnadenerlasses über die ganze Welt sich erstrecken solle. Demzufolge sind die geweihten Stätten wieder zurückzugeben, und möget auch ihr euch der Verordnung meines Reskriptes erfreuen, so daß euch niemand weiter belästige. Das, was euch darnach zu tun frei verstattet ist, ward von mir schon vor geraumer Zeit in Huld verfügt. Darum wird auch Aurelius Quirinius, der Groß Schatzmeister, über die von mir erlassene S. 337 Verordnung sorgsam wachen.“ Dieser Erlaß sei, der besseren Verständlichkeit wegen aus der römischen Sprache übersetzt, hier eingeschaltet. Noch eine andere Verordnung desselben Kaisers ist überliefert. Er hatte sie an die übrigen Bischöfe gerichtet und darin gestattet, die sog. Zömeterien wieder in Besitz zu nehmen.
d. i. der Perser. ↩